L’équipe de Bureau GDA s’agrandit avec l’arrivée d’un géologue passionné, également spécialiste de l’amiante environnemental. Après plus de quinze années d’exploration minière en Nouvelle-Calédonie, il choisit aujourd’hui de mettre son savoir-faire au service de la prévention des risques et de l’accompagnement des acteurs de l’industrie extractive et du BTP.
Le chrysotile, plus connu sous le nom d’« amiante blanc », est la variété la plus exploitée de l’amiante.
Minéral fascinant par sa genèse géologique et ses propriétés physiques, il a été massivement utilisé au XXᵉ siècle dans l’industrie et la construction.
Aujourd’hui interdit en Europe, il reste pourtant extrait et utilisé dans plusieurs pays. Dans cet article, nous allons explorer ses origines minéralogiques, ses contextes géologiques, son importance dans l’économie mondiale et son histoire en France, notamment à travers l’exemple de la mine de Canari en Corse.
Si les cartes d’aléas du BRGM sont un outil indispensable au géologue, elles ne sont ni un repérage avant travaux ni un critère de lancement d’un repérage.
Le Québec dévoile sa cartographie de la présence d’amiante environnemental dans le socle rocheux. Inspirée d’une méthode française , elle fournit un outil pour la prévention et l’aménagement.
Un avis de l’Observatoire national de l’amiante basé au Québec s’intéresse aux différentes réglementations nationales concernant la gestion des terres contenant (naturellement ou non) de l’amiante.
Le BRGM dévoile un protocole pour évaluer le risque amiante environnemental dans les carrières alluvionnaires. S’inspirant de la norme NF P94-001, il explicite les échantillonnages à réaliser.
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